"Si Jack Lang en avait, on l'appellerait Tonton."
Bien bonne blague socialiste de l'ère Mitterand.
Bien bonne blague socialiste de l'ère Mitterand.
Sur une suggestion deFlo Py!
Mes amis socialistes n'ont donc pas retenu la suggestion, que je leur faisait hier, d'enduire monsieur Jack Lang de goudron fondu et de plumes sergent-major avant de le faire déposer par la bande à Manuel Valls devant l'entrée de service du Palais de l'Elysée...
Il est vrai que l'on réfléchit tellement avant d'agir au Parti Socialiste que l'on préfère sans doute y critiquer "l'antisarkozysme pavlovien" dénoncé par quatre "camarades" plutôt que le prosarkozisme opportuniste du ringard promoteur de la gauche caviar.
Monsieur Lang aurait pourtant fait un très joli goudronné, comme le montre avec éclat cette photographie déjà postée hier.
Jack Lang faisant rire ses camarades
en mimant le cormoran mazouté.
en mimant le cormoran mazouté.
Au lieu de cela, le triste sire parade et affirme qu'"il n'est au pouvoir de personne de (le) rayer de la carte du paysage politique français".
Ben voyons! l'Histoire ne s'en remettrait pas...
Ou encore:
"Il y a trois boussoles qui me guident: mon idéal de gauche, ma conscience et la confiance populaire dont je bénéficie".
Je rêve ! Sa conscience !
On voit par là que ce qui fait un grand politicard est bien l'art de parler de ce que l'on ne connait pas.
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